Master Droit international

Le master vise à préparer les étudiants aux métiers d’avocat ou de juriste international. Les entreprises comme les cabinets d’avocats, y compris les PME et cabinets de petite taille, ont de plus en plus besoin de juristes formés au droit international et comparé et capable de maîtriser la langue anglaise aussi bien que la langue française. Le diplôme peut également préparer à des carrières dans les douanes ou aux professions d’administrateur ou mandataire judiciaire, de responsable export, de gestionnaire de patrimoine ou encore d’huissier. La forte présence étrangère dans la zone géographique des Alpes ainsi que l’importance des échanges internationaux nécessite que des professionnels soient formés aux exigences spécifiques du droit international et capables de maîtriser des droits d’origines différentes sans avoir nécessairement besoin de faire appel à des experts ou des confrères étrangers, ce qui occasionne un coût important ainsi qu’une perte de temps.

Le master droit international parcours droit transfrontalier implique nécessairement une mobilité en première année à l'Université de Turin ou à l'Université de Genève. Le stage proposé au semestre 10 peut par ailleurs être réalisé à l’étranger. Les deux langues d’enseignement sont le français et l’anglais. Compte tenu de l’orientation internationale du diplôme, le diplôme a vocation à offrir des débouchés à l’international.

Par ailleurs, le suivi de la première année à Turin ou à Genève permettra, au-delà de l’acquisition du master à la fin de la seconde année, d’acquérir dès la première un certificat d’études – supplément au diplôme.

- Un effectif volontairement réduit pour permettre un meilleur suivi des étudiants

- Un semestre réalisé à l’étranger en langue anglaise (Turin) ou en langue française et anglaise (Genève)

- Une forte implication des enseignants de l'Université partenaire en seconde année de master à Annecy (cours et séminaires dispensés par des enseignants de Turin)

- Un adossement à la recherche à travers l’activité du Centre de recherche en droit Antoine Favre – possibilité de poursuivre en thèse en droit public ou privé sur les questions de droit transfrontalier